Chroniques de JB SAY

 
- février 2019 : rénovation de la salle 75.
- été 2019 : câblage du lycée.
- septembre 2018 : entrée des élèves par la rue Chardon Lagache.

- janvier 2015 : nouvelles archives photos du monuments aux morts.
- 2 juillet 2014 vue du ballon du Parc André Citroën, lycée JB SAY dans le prolongement de l'IUFM (nouvellement ESPE) ; au deuxième plan le pavillon Joséphine du Parc Sainte-Périne

- Rentrée 2013 aménagement d'une classe "Unité Localisée pour l'Inclusion Scolaire (ULIS)" au dessus de l'infirmerie
- juin 2013 FlashMob de l'EPS dans la cour du collège.
- Rentrée 2012 Salle de Réunion dans le bâtiment de l'Intendance (nommée en novembre 2013 salle Clauzier).
- juin 2012 nouveau mur d'escalade au gymnase.
 
- 2012 transfert de la salle de dessin historiquement au troisième étage (exposé au nord pour un éclairage constant) en salle 67 du collège.
- Nouvelles archives (photos de classe 1881 et séances du comité de patronage)
- Rentrée 2011 déménagement du GRETA (qui libère des salles à équiper : salle de réunion dans le bâtiment de l'Intendance et salle informatique SVT).
- Rentrée 2011 : Accueil des filles à l'internat des CPGE.
 Inauguration du nouvel amphithéâtre 28 janvier 2011.
- Archives photos en ligne (1909 et 1963).
année 2010
labo SVT
- Rentrée 2010 nouvelles salles de SVT au 1er étage du collège.
- Mars 2010 Début de la rénovation de l'Amphithéatre
hiver 2008 
- Rentrée 2008 "modernisation" des ateliers de technologie
- Avril 2008 rénovation du monument aux morts (par l'AAE), en plein tournage de LOL !
- Rentrée 2007 grands travaux de l'internat. Anciens Réfectoires partagés en salle de classe.
 Bâtiment préfabriqué dans cour collège.
- Oct 2006 Inauguration musée Sciences et Techniques Jean-Baptiste SAY. Marche sayenne sur youtube.
Ouverture Section handball masculin en classe de 6°.
- Rentrée 2005 bulletins informatisés. Octobre 2005 première fête de la science.
- 2005 allégement des portes battantes d'accès aux cours. Rénovation enclos du jardin botanique.
- Rentrée 2004, mur d'escalade sur la façade sud du gymnase.
- 2004 Tournage d'une série télévisée "Mme le Proviseur" dans les locaux de Jean-Baptiste SAY.
- Juin 2002 restauration à l'identique de la loge du lycée.
été 2001
- 2001 câblage du réseau et accès internet wanadoo. projet_extension officiel de rénovation en attente.
Juin 2000 premier séjour sportif à Autrans en classe de 6ème.
- 2000 TSA (ancien bac série E) devient ISI, MPI et ISP.
2000 salle de musique déménagée sous l'aile ouest.
Le GRETA Top Formation en Bureautique installe une salle informatique sous les anciennes cuisines (à la place de l'ancienne salle de musique).
- 1999 mise en place des panneaux d'affichage rue du Buis.
- 1998 le self remplace la cantine des réfectoires. Création salles 75 à 77.
travaux en 1997
- 1996 option Histoire des Arts
- 1993 réforme du baccalauréat : E.S. : Économique et Sociale, L : Littéraire, S : Scientifique
- 1992 Traité de Maastricht instituant l'Union Européenne (le drapeau de l'Europe s'ajoute au drapeau français sur le fronton de l'école).
- 1991 L'École Normale devient IUFM de Paris (Institut Universitaire de Formation des Maîtres).
- 1986 Éducation Manuelle et Technique devient Technologie Collège.
- 1980 Le bâtiment de 1950 dans la cour du collège est aménagé en CDI, Centre de Documentation et d'Information.
- 1972 le mercredi remplace le jeudi, la classe du samedi après-midi a disparu en 1968.
- 1970 transformation du dortoir des internes en salle de permanence, puis en salles de classe.
- 1969 mixité garçons filles, dans les classes.
  1963
- 1962 achat d'un terrain de 1500 m² bordant la rue Boileau.
- 1960 restaurations des cuisines.
- 1er janvier 1953 lycée d'état avec créations de nouvelles salles. M. PLACE nommé proviseur.
- 27 avril 1952, première rénovation du monument aux morts consacré aux vitimes de 2 guerres.
- 17 août 1944 FFI plaque commémorative à la loge.
- 1942 l'École Primaire Supérieur devient collège moderne.
- 19 octobre 1928, inventaire aux Monuments Historiques, École Jean-Baptiste Say : façade sur la première cour, décoration du grand salon et du cabinet du directeur.

1926 Gaston DANNE ancien élève de l'école JB SAY, cité à l'ordre de la Nation, après ces travaux sur le radium avec les Curie (lien avec ESPCI), plaque visible en salle 59.
1925
- 1925 nouveaux ateliers bois et fer côté rue Chardon-Lagache.
- 1921 Inauguration du monument élevé à la mémoire des morts pour la France
- 1918 Plaques commémoratives nommant les cours de l'école.
  Entrée rue Chardon-Lagache 
  1909 Concert de musique
1906
- L'école Jean-Baptiste SAY participe à l'Exposition universelle internationale de 1900 à Paris
(rapport du jury à rechercher en ligne).
- 30 mars 1900 inauguration des nouveaux bâtiments par M. LEYGUES Ministre de l'Instruction Publique.
ancienne / nouvelle école
- Nouveau gymnase dans l'enceinte de l'école ; ateliers bois et fer
- école J.B. SAY en 1899
1899
- 1895 cinématographe des frères Lumière projections lumineuses de l'amphithéâtre.
1892
- 1891 le Conseil Municipal adopte le plan de reconstruction de M. SALARD, architecte de la ville pour passer de 600 élèves à 700 dont 300 internes (voir plans de 1892).
- 1888 M. LÉVÊQUE (homonyme de l'abbé) ancien répétiteur de mathématiques de l'Institution dirige l'école jusqu'en 1909.
- 1884 Fondation Léopold BELLAN (1857-1936) pour l'éducation, la recherche médicale, la culture.
- 1881 Loi Jules FERRY instituant un enseignement primaire laïc, gratuit et obligatoire pour les filles et les garçons.
1880
- 1880 M. COUTANT directeur de l'école.
1877 "Ecole Normale de la Seine"
- 10 juin 1876 séparation de l'E N et l'EPS prend le nom d'école Jean-Baptiste SAY par arrêté préfectoral. Elle dirigée alors par M. MARGUERIN.
" En vu de donner des idées d’économie politique aux élèves de l'École Primaire Supérieur d'Auteuil, l’établissement prit le nom de Jean-Baptiste SAY. Jean-Baptiste Say fut la première école a proposer un cour élémentaire d’économie politique notamment en troisième année d'École Primaire Supérieur et dans sa quatrième année supplémentaire avec des notions pratiques développées d'économie agricole, industrielle et commerciale".
- 1872 Octave GREARD directeur de l'Enseignement de la Seine fit installer l'École Normale d'instituteurs de la Seine (l'École Normale des institutrices se trouvait boulevard des Batignolles depuis 2 ans). Auteuil commune indépendante depuis 1790 avait été rachetée par Paris en 1860. On y trouve l'École Normale, une École Primaire Supérieure et une École Primaire Élémentaire. M. Menu de Saint Mesmin est nommé directeur de l'école municipale.
- 1860 Village Auteuil commune de Paris.
- 1852 les terrains restants (3 à 4 ha) furent cédés à une institution religieuse Notre Dame des Champs sous la direction de l'abbé LÉVÊQUE. À la mort de l'abbé en 1864, l'institution déclina et disparue après la guerre franco-prussienne de 1870.
- Lyon 1767 / Paris 1832 Jean-Baptiste SAY, l'économiste fut souvent l'hôte de TERNAUX ROUSSEAU.
- Propriété rachetée par Monsieur LAVESSIÈRE qui morcela les lots pour être bâti.
- 1804 le manufacturier TERNAUX ROUSSEAU, aménage la propriété (12 ha) qui donne sur la place renforcée dite carrefour du Buis : écurie de 30 chevaux, orangerie, pompe et manège, jardins à l'anglaise et jardins potagers, salle de billard (salon d'Honneur). Industriel dans la laine de mérinos et de cachemire à la mode depuis la campagne d'Égypte, homme politique décoré par Napoléon, ruiné par la révolution de juillet en 1832.
- Olympe de Gouges, écrivain féministe, habite en 1790 une maison rue du Buis.
- 1753 vente par les héritiers à Rolland de FONTFERRIERE seigneur d'Augervilliers, conseiller secrétaire du Roi.
- 1750 constructions des dépendances, deux pavillons symétriques encadrant la cour d'Honneur.
- 1714 Monsieur GALPIN, trésorier de France au Bureau de la Généralité de Paris (hôtel GALPIN).
Architecte Nicolas DULIN (né en 1670, contrôleur des bâtiments du Roi), auteur tout ou partie du pavillon de style néo-classique, porche d'entrée surmonté d'un fronton triangulaire.
- 1664 Molière a une résidence secondaire au 2 grande rue d'Auteuil (voir plaque Auberge du Mouton Blanc).
- début du XVII° Louis XIII rejoint Versailles depuis les Tuileries en traversant le village des "Hautes Terres" (Auteuil).
- Pendant 700 ans, les abbés de Sainte Geneviève, dits Génovéfains, ont été les seigneurs d’Auteuil, de 1110 à la Révolution. Chaque mercredi, quelques novices quittaient la montage Sainte-Geneviève pour une promenade à Auteuil, où ils appréciaient le vin du cru. L’abbaye y possédait un immense domaine, en partie couvert de vigne, qui descendait depuis l’église jusqu’à la Seine, le château seigneurial longeait la rue Wilhem. Après la Révolution, il est acquis par le peintre François Gérard et, en 1858, par la ville de Paris. La maison de retraite Sainte Périne, chassée de Chaillot par l’ouverture de l’avenue Joséphine (Marceau), y est reconstruite pierre par pierre, elle s’y trouve toujours.

1880 photo de classe 1881 préparation militaire
  1881 Montage de régulateur à boules de James Watt (machine à vapeur)
"Les classes d'enseignement primaire élémentaire (le petit collège), exclusivement réservés aux internes, aux demi-pensionnaires et aux externes payants, comprennent trois années d'études :
- Un cours élémentaire, pour les enfants de huit à dix ans ;
- Un cours moyen, pour les enfants de neuf à onze ans ;
- Un cours supérieur, pour les enfants de dix à douze ans.
À la fin du cours supérieur, les élèves passent l'examen du certificat d'études primaires."
 salle d'écriture (voir enseignement technologique)
"Les classes d'enseignement primaire supérieur comprennent trois années normales d'études. La 1re et la 2e année sont consacrées aux notion générales indispensables à tout élève de l'enseignement primaire supérieur. Ces deux années permettent aux aptitudes des élèves de se révéler, et aux professeurs de les constater.
Dès la 3e année commence la spécialisation des études. Les élèves se partagent en deux sections : l'une industrielle, l'autre commerciale.
Les cours supplémentaires en 4e année se répartissent en deux sections industrielles, une section commerciale et une section de l'École Centrale."
Fronton "Industrie", bâtiment Est sur Chardon Lagache
"Le moyen collège rassemble les élèves de 1re année ; le grand collège les élèves de la 2e, 3e et 4e année.
À l'école J.-B. SAY, la journée scolaire commence à huit heures et quart et se termine à quatre heures et demie pour les élèves des classes primaires ; à cinq heures un quart pour ceux des divisions supérieures.
La morale était enseignée dans chacune des années, "le but à poursuivre est de créer et d'entretenir chez les élèves un ensemble de dispositions morales propres à les préparer à la vie qui les attend dans la société : action de cœur, action sur l'intelligence et action sur la volonté."
Rapport Lévêque 1899
1899 Entrée des Internes
2009 
La rue du Point du jour est nommée rue Chardon-Lagache en 1892.
   1910 Entrée rue Chardon-Lagache (// 2011)
1907 1909 
Le Comité de Patronage organise la vie de l'école, les aménagements et les investissements (ici le chauffage), mais aussi les directives pédagogiques et les sanctions disciplinaires lorsque cela est nécessaire. En octobre 1909, M. Boitel succède à la direction de l'école à M. Lévêque (qui assistera à titre honorifique à quelques séances) ; sont aussi présents : M. Bellan très impliqué dans l'école, M. Salard architecte à l'origine des travaux de l'agrandissement en 1899, M. Coutant ancien directeur en 1880 et inspecteur de l'enseignement primaire.
Comité de Patronage 20 mars 1918
En 1918, les évènements en Russie nécessitent des décisions fontamentales quant à la poursuite de l'enseignement de cette langue vivante au sein de l'école.

L'entrée 11 bis rue d'Auteuil donne accès à la cour d'Honneur et au Pavillon d'Honneur, hôtel particulier du XVII ° siècle, encadré de deux bâtiments aménagés du temps de l'Institution Notre Dame des Champs et reconstruits à l'agrandissement de l'école en 1900.
  salon d'honneur 1909
  Cabinet du directeur
 Réception hebdomadaire des internes chez le directeur
M. Boitel succèda à M. Lévêque en 1909.
 
 
Quelques transformations du lycée interviendront ensuite : surélévation du bâtiment nord, conversion en 1970 du dortoir des internes sur la rue Chardon Lagache en salle de permanence puis en salles de classe, le self en 1997, les travaux de 2007 : les anciens réfectoires en salle de classes, le bâtiment préfabriqué dans cour collège et le nouveau dortoir des internes, la rénovation des ateliers de technologie en 2008, la rénovation de l'amphithéâtre en 2011.

Depuis 1899, les cours commencent à 8h15 : Sonnerie ((o)).

Le musée est le résultat d’un long travail de recherche et de restauration des instruments scientifiques et techniques qui peuplaient les étagères des différents laboratoires du lycée.
cabinet de curiosités
1910 Chimie en extérieur (+ vue en 2015)
Chimie au laboratoire (hotte aspirante encore visible)
Ce travail fut exposé une première fois en 2005 dans le salon d’honneur lors de la première fête de la science.Les objets purent ensuite l’année suivante trouver leur place dans des vitrines d’exposition.

Inauguration en octobre 2006 par M. Maurice Quénet Recteur de l'Académie de Paris, M. Pierre-Christian Taittinger maire du XVI° arrondissement et M. Gérard Patenotte Proviseur du Lycée Jean-Baptiste SAY.
À cette occasion, Mme Dandurand, professeur de musique, ré-orchestra la "Marche_Sayenne".

 

Quelques exemples de matériel :

ateliers de technologie :
1 2  3  4   
anciens_outils     ;   travail_du_bois     ; metrologie_trace ; metrologie_controle
5
machine_traction  ; 

sciences physiques :
lunette_astronomique appareil_de_leyvitz
 
 

archives par M. LAVEDRINE
professeur de Technologie au collège Jean-Baptiste SAY depuis 1998
contact : jbsaytronic@laposte.net

plan de l'établissement : plan_jeanbapt

jeu de navigation dans le site : enter game jean-bapt : tout commence en 1876 ...

au final, copier le lien dans la barre de navigation en remplaçant X et Y
X : garder les deux premiers chiffres et soustraire 1
Y : additionner les trois derniers chiffres.

https://zupimages.net/viewer.php?id=X/Y/hukf.jpg

Le jardin botanique prolonge en descendant le pavillon d'honneur en direction de l'amphithéâtre.
  1909
1889 1899
La statue placée devant l'amphithéâtre, est datée de 1883.
La mise en place est incertaine, selon les anciennes photos, la statue n'est pas toujours installée dans le jardin botanique.
C'est une reproduction du bronze "le Travail", allégorie de Charles-Auguste Lebourg (1829-1906) auteur également des fontaines Wallace en 1872. 

Aujourd'hui le jardin botanique sépare la cour du collège de la cour du lycée.
On aperçoit derrière, les bâtiments de l'Ecole Normale.

À l'issue de la première guerre mondiale des plaques en mosaïque bleue et or sont placées à la mémoire des morts pour la France ; la cour d'Honneur est nommée cour L. BELLAN, fils unique de Léopold BELLAN, philanthrope par ses nombreuses œuvres et président du comité de patronage de l'école (voir photo de 1899).

- l'aile Est (bâtiment de la lingerie et actuelle salle des professeurs) nommée Pavillon GORLIER, professeur de mathématiques
- l'aile Ouest (bâtiment de l'intendance) nommée Pavillon PELLIÉ, serviteur de l'économat
- le jardin du centre de l'école est nommé Clément MICHY, vice-président de l'Amicale des Anciens Élèves
- la cour du lycée (grand collège), André WESSBECHER, aspirant aviateur tombé en mission volontaire
- la cour du collège (cour A), Paul KLEIN
- la cour du collège (cour B), Charles GAINSETTE
- la cour des ateliers de Technologie, (cour des petits de l'École Primaire Supérieure), est nommée à la mémoire des frères Georges, Louis et Paul LAFARGOUETTE
- la salle de dessin d'art sera la salle Jacques d'ARCY, reçu second au concours des Beaux-Arts et engagé volontaire.

Le 24 avril 1921 fut inauguré le monument aux morts de la première guerre mondiale. Le monument est l'œuvre du sculpteur Lamourdedieu : "À une époque où l'acier nous faisait défaut, où les poitrines faisaient presque seules le mur dressé contre le barbare, il avait sculpté dans la glaise le drame de la chair … une femme, grande, drapée avec grand air, la France, la chère Patrie … sur les pylônes un jeune homme qui lève la tête au bruit des choses graves, un soldat, immortel poilu, frère du héros sauvé qui dort à l'Arc de Triomphe".
(recueil de l'Inauguration 1921)
Ces nouvelles photos sont probablement antérieures aux précédentes (fleurs au pied du monument pour une célébration, espace du jardin pas encore planté et absence du mat). à consulter sur gallica.bnf ici

Le monument est déplacé ensuite dans le jardin botanique en 1928, suite à l'inventaire aux monuments historiques.
Première rénovation du monument aux morts, le 27 avril 1952, la stèle est gravée de l'appel aux morts des deux guerres : 222 noms de professeurs, répétiteurs, fonctionnaires et anciens élèves sont inscrits.
Une seconde rénovation aura lieu en 2008.
D'autres plaques commémoratives se trouvent dans les salles du lycée et notamment à la loge.

Ici le 17 Août 1944 se rassemblèrent les résistants qui constituèrent le groupe F.F.I. LYAUTEY Le 26 Août 1944 furent réunis les corps de leurs camarades BONNEENFANT Raymond - LAFONT Georges - GROS René - PASQUET Henri morts pour la libération de Paris


1914 - 2014 À l'occasion du centenaire de la grande guerre, les professeurs d'Histoire Géographie ont choisi 4 poilus de Jean-Baptiste SAY afin de faire travailler les élèves sur leurs témoignages en les imaginant à l'ère numérique des smartphones et de facebook :
1er Poilu : Louis-Joseph LAFARGOUETTE, deuxième classe au 3ème régiment de zouaves. Il a 27 ans en 1915.
2e Poilu : Albert Henri SARTY est un deuxième classe d'un régiment d'artillerie. il a 21 ans en 1914.
3e Poilu : Jean BAILLEUX est un sergent pilote aviateur. Il appartient au 2ème groupe d'aviation, escadrille 34. Il a 28 ans en 1915.
4e Poilu : André TOUZET est sergent au 94e régiment d'infanterie. Il a 21 ans en 1915.

"La nouvelle École J.-B. SAY possède un grand amphithéâtre (160 m²), disposé pour les projections lumineuses et pouvant contenir 300 élèves sur 13 rangées de gradins. L'appareil Molteni projette les vues photographiques sur un écran de 18 m². Il a été spécialement construit en vue des conférences et des matinées littéraires et l'enseignement illustré de la géographie. Les deux autres amphithéâtres, de 100 m², sont destinés à l'enseignement de la physique et de la chimie."
Rapport Lévêque 1899

 1910 Amphithéâtre de sciences physiques

2001 Grand amphi

Disparu pendant 10 ans, et relancé au printemps 2004 à l'initiative des enseignants, des élèves et des fédérations de parents le ciné-club organisa des soirées par niveau, certaines réservées aux 6° et 5° (ciné-junior). Il est suspendu depuis 2008.

Des représentations sont proposées par le club de théâtre du lycée mais aussi par des écoles primaires comme l’école Boileau.

mars 2010 début des travaux de rénovation
juillet 2010
septembre 2010
novembre 2010

Inauguration le 28 janvier 2011
       

1899 Dortoir de l'internat
1910 Dortoirs des petits au réveil       
l'internat au dessus des anciens réfectoires en 2001.
             
Les grands travaux de l'internat été 2007 à mars 2008 financés par la Région Ile de France, pour les dortoirs du premier (en lieu et place des salles 16 à 22) et deuxième étage bâtiment ouest : au total 65 chambres de 9 m² avec douche et lit mezzanine. Un accès par ascenseur est prévu dans l'ancienne cour de la salle des cartes d'histoire géographie.
       
Ces travaux ont conduit à la mise en place d'un bâtiment préfabriqué livré par camion-grue pendant l'été 2007 et à l'aménagement des anciens réfectoires en salle de classe.
 
Rentrée 2011 accueil de filles à l'internat et mixité également à l'ancien foyer des lycéennes rebaptisé foyer Jean ZAY.













































   

"L'enseignement du travail manuel, est un moyen de culture générale, puisqu'il tend au développement physique, intellectuel et artistique".
Rapport Lévêque
La reconstruction, en 1899, de l'École Primaire Supérieure d'Auteuil - en accord avec les nouvelles pratiques pédagogiques - insuffla un nouvel élan au travail manuel pour donner à la nouvelle école un caractère industriel et commercial (atelier du bois en lieu et place du gymnase actuel, l'atelier du fer en parallèle de la rue d'Auteuil).
1899 atelier bois
Nouvelle structure des bâtiments en 1900 (la superficie des terrains de l'école est portée à 16 895 m²).
L'aile droite du pavillon central (face au nord) renferme au rez-de-chaussée, les ateliers du bois et du fer, 160 et 194 m² (le bâtiment est nommé "Industrie" en haut de la façade est).
Un des ateliers possède 16 établis à deux places, l'autre contient une forge et ses accessoires, chaque atelier dispose de tables destinées aux exercices de cartonnage et de stéréotomie, et un tableau spécial pour le dessin analytique. Une troisième salle est installée pour le modelage.
1900 atelier fer sous les réfectoires
Ateliers Bois et Fer en 1910
 Leçon de dessin en 1910
  Salle de modelage 1910 et salle d'écriture ensuite
  Salle de modelage (9bis aujourd'hui)  
Construction de nouveaux ateliers et d'une réserve en 1925 qui deviendront les salles de technologie actuelles (le nom des bâtiments apparaît en  lettres métalliques style art déco). Le sol est couvert de pavés de bois goudronnés, pour prévenir de la casse des outils lors de leur chute éventuelle.

  1963
Le bâtiment sur la rue Chardon-Lagache est dédié à l'enseignement de la productique et de la fabrication industrielle.
En 1980, les Ateliers sont scindés en 4 salles :  l'atelier Fer devient la salle 36 équipée pour l'électronique, 2 salles de cours 37 et 38 (le porche d'entrée donne accès à un vestiaire équipé d'un bac muni de lavabos démonté en 1999), l'atelier Bois se transforme en salle informatique.
En 1986 création de l'enseignement de la Technologie, issue de l'EMT (mécanique et électronique) et de l'enseignement de l'économie et de la gestion.

En 1998, les salles centrales 37 et 38 sont aménagées de manières polyvalentes (mécanique, électronique et informatique) afin de privilégier l'enseignement selon le principe pédagogique des "ateliers tournants" (différentes activités menées en même temps).
1998
Les salles extrêmes 36 et 39 sont mises à la disposition des options technologiques du lycée.
La verrière se dégradant, des "gouttières" ont été positionnées sous les voûtes, les chéneaux furent nettoyés et goudronnés en 2001. En 2004, des plaques de plâtres habillèrent la salle 38 dont les murs s'effritaient.

Avec le plan d'aménagement du nouvel internat, l'élan de rénovation put parvenir jusqu'aux ateliers, fin prêt à la rentrée 2008.

Rentrée 2016 : réforme du collège, accueil des classes entières et nouveaux programmes.

Voir anciens outils en bas de page du musée des objets scientifiques et techniques